■ Darius (EN VIE)

une citation qui représente le personnage

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PRENOM : Darius, that’s my name bro ! Y’a rien à dire sur ça, googler le et je s’rais un roi Perce askip. J’ai clairement pas la tronche d’ce mec. Blanc comme neige, pas de barbe même si parfois j’ai la folie de me laisser la stache bro. L’idée d’mes parents, AUCUNE FOUTU IDÉE WESH. Y d’vait penser que ça f’rait genre… T'as trop la classe, alors que pas du tout ! AGE : 27 ans, bro. LIEU DE NAISSANCE : Plymouth. OCCUPATION : Abdos de luxe sur la toile, lunette perchée sur la tête et sifflet au bout des lèvres... En gros des mots fleuris pour dire : maître nageur du camp, bro. Rien de bien nouveau dans c'choix, je kiff voyager. J'ai répondu à une annonce pour un taff qui d'hab sert à payer ma bouffe, mon toit. Cette fois j'ai le combo pack, j'pensais juste pas que j'serais obligé de rester là. J'crois que j'ai pas capté le fonctionnement d'un camp de vacances. ORIENTATION : TW : vulgarité, sexe : Tant que j'ai un cul à me mettre sous la main et une langue sur ma bite, j'serai plus heureux des mecs. SITUATION PERSONNELLE : À qui voudra d’un mec possessif, surprotecteur, qui s’la joue : m’affiche en public en laissant aucun con poser le regard sur toi ou te mettre la main au cul sans se prendre mon poing dans la tronche. J’suis kk pour laisser sortir sexy, mais tes oreilles vont siffler à m’écouter te dire comment j’suis dur pour toi. Mon ex dit que j’suis un dominable. True. C’est peut-être tout ça qui fait qu’suis seul.

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Ce qu'il faut savoir de moi :
soleil de minuit dieu de l'idiotie passion tenace DÉJÀ AMI AVANT MÊME DE SE CONNAÎTRE jacasse sans relâche RIRE SANS FIN cordon bleu décomplexe loki dégringole et remonte VÉNAL PAR LE VENTRE mystique du passé CAÏD DU BAC À SABLE clown de mes deux sulfureux égo surdimensionné beuf à ses heures perdues POSSÈDE TOUJOURS UN COUP D'AVANCE paroles pas toujours à croire TEDDY BEAR À TEMPS PERDU toujours présent intrépide regret sous faux-semblant franchi la porte en premier MISE À JOUR ERRONÉE tête de cochon REGARD INQUISITEUR chien protecteur péchés multiples je m'en foutisme franc-parler AGIT AVANT DE RÉFLÉCHIR queutard REFLET D'UN FRÈRE DISPARU vit sa vie sans crainte de mourir

↳ *facts* ༉‧₊˚✧

Marin d’eau douce, c'te shit qu'on peut dire, mais fun fact, y'a vraiment que l'eau qui coule dans mes veines. Fils de Poséidon. J'suis pas un homme de terre, j'ai traversé les océans, oubliant ma famille et mes origines. J'suis peut-être pas l'mec le plus futé qui soit, mais l'eau c'est ma vie. J'aurais pu fuir encore et encore, mais non comme un débile, j'me suis posé et j'ai fait des bêtises qui m'ont amené dans ce bled.

Cyrus. Premier né. Enfant attendu. Désiré. Souhaité. C'est en tout cas ce qu'on m'a toujours dit. Ils désiraient plus que tout un gosse. Génial, non ? Bin la surprise ça été que quinze ans plus tard, BAM bébé Darius a vu l'jour ! Ça toujours été ; L’un trop vieux, l’autre trop jeune. Une discordance aveuglante. C’était mal nous connaître, puisque mon frère m'accordait tout son intérêt, j'étais en admiration devant lui. Me trimballant partout où il avait droit de m’amener. C’est ainsi que j'ai appris à nager avant même de parler ou même marcher. Nous étions des triton des mers.

2009. L’Australie. C'est à ce moment que tout bascula, nous deux plongeurs expérimentés en voyage pour voir la grande mural de coraux. Si Mère nature peut être diabolique, elle l’a été avec nous. Une vague. Une seule et nous fûmes prisonnier du torrent. J'ai jamais eu autant la pétoche qu'à c'moment-là ! Rien que de l'eau et la peur de ne plus sentir l'air dans nos poumons. Ça m'a paru sans fin… Comme si l’océan désirait me faire rentrer à la maison. La douleur provoquer par les griffes des coraux, juste le dire là et mes cicatrices me font encore mal. J'ai fini échoué sur la berge… Le reste je m'en souviens pas trop.

Curys n'était plus…

La voix de mon psy, les mots, la dépression, la paralysie, tout ça qui revenaient sans cesse. Une amitié qui se voyait confronté à une dispute. Elle dont les griffes m'avaient lacéré le corps, écorchée mes poumons, moi, enfant de l’eau tétanisé par la bourrasque. Ça m'a prit un bail pour remettre la petite orteil à l'eau. Et j'parle pas de douche ou de bain, mais de ces étendus d'eau majestueuses. J'ai fini par faire front, laissant tout de même l'abysse briller dans le regard des mes vieux. J'ai fini par partir, les quitter fût sans doute la chose la plus facile à faire. Cyrus disparu, rien ne me retenait.